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Par jm.rober le 8 Octobre 2013 à 10:30
Hier soir, vers 17h00 alors que le soleil amorcé sa descente, j'ai été attiré par une cacophonie « grou grou » venant du ciel . Étant situé sur leur itinéraire de vol , je découvrait ce premier vol de grues cendrées au dessus de la Banlieue Sud de Limoges , on en recensait une soixantaine . Elles formaient un grand V. J'en jugé qu'elles avaient commencées a descendre vers le sud. Quand vers 19 heures, de nouveaux cris se faisaient entendre. Cela était bien la confirmation de leur migration vers le sud avec un deuxième passage en direction du Pays Basque. Elles formaient deux grands chevrons soit une nombre conséquent de grues. Leur progression dans ciel fut très rapide et ainsi disparaître dans la peine ombre du ciel .( vitesse de 40 à 80 km/h avec une altitude de vol entre 200 et 1500 m)
Protégée en France depuis 1967. On recense une population européenne de 400 000 individus
Suivez le voyage de Grupette. (LPO)
Leurs pays d'accueil, ils sont vingt en ordre d'importance décroissante : Russie, Finlande, Suède, Pologne, Allemagne, Norvège, Lettonie, Estonie, Biélorussie, Lituanie, Ukraine, Turquie, Danemark, Arménie, République Tchèque, Géorgie, Grande-Bretagne, France, Roumanie et Pays-Bas.
Grue cendrée (wikipéda)
Oie cendrée (wikipéda)
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Par jm.rober le 27 Septembre 2013 à 15:02
Le jardin d'Orcay ,un charmant jardin public dans Limoges. Situé à l'ouest de la ville. Mais contrairement à certaines pensées, ce nom n'a aucun origine avec la ville d'Orcay, ni même avec le musée du même nom. Mais il fut tout simplement crée au début du XVIIIe par l'intendant du roi Boucher d'Orcay. Il fut bâti sur l'emplacement des Arènes romaines « l’amphithéâtre d'Agostoritum » qui aujourd'hui est en parti détruit ou enfoui. Il se présente en vaste esplanade sablée ou l'on peut venir si reposer à l'ombre des marronniers bicentenaires .
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Par jm.rober le 25 Septembre 2013 à 11:02
C'est dans les années 1771 que fût crée la première Manufacture de porcelaine à Limoges.Puis en 1845, un nouveau visage de celle-ci allait naître avec la création du Musée national de la porcelaine par la Société d'histoire et d'archéologie du Limousin. Puis vingt ans plus tard l'homme d'affaires « Adrien Dubouché (1818-1881)» amateur d'Art y créera une section céramique et en prendra la direction.
Puis en reconnaissance à cette œuvre accomplie , l'état français accepta en 1881, sur demande de la ville de Limoges de prendre le Musée et l'ensemble des œuvres et collections pour en 1868 Crée l'école de l'Art. Le Musée au fil des années poursuivra sa notoriété avec de nombreux dons venus de mécènes.
Puis en 2012, un projet de réhabilitation dont l'objectif était de rassembler les deux bâtiments en un seul . Un projet réalisé par l'architecte Boris Podreca, relie l'école au musée .
Un nouveau visage du Musée est né ….................
Ne vous méprenait pas ce sac de voyage ci-dessous est bien réalisé en céramique.
L'art de la Céramique sur cette exposition momentanée
Mais qu'est qu'ils regardent devant la porte ?
Des magnifiques éponges réalisées en céramique.
Attention on arrose..................
Fin de cette superbe visite si vous voulez-vous y rendre une adresse:
Nouveau site en préparation:
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Par jm.rober le 23 Septembre 2013 à 18:25
Dans le cadre des journées du patrimoine le Musée National Adrien Dubouché ouvrait gratuitement ses portes au public . Musée fondé en 1845 , il doit son nom à son mécène « Adrien Dubouché » né à Limoges. Pasionné d'Art et de céramique, cet homme d'affaire consacrera une partie de sa fortune pour enrichir le musée pour permettre de retracer l'histoire des Art du feu au travers de différents objets venus du monde entier . Il fit don de plus de 4000 pièces au musée.
. En 1881, il devient Musée National. Aujourd'hui riche de de 12000 objets. Aujourd'hui , rénovée on peut y distinguer quatre grandes familles dans la céramique. La poterie, la faïence, le gré et la porcelaine.
2012, après une rénovation compléte , il fut labellisé " Musée de France et de Limoges", il est rataché à l'établissement Cité de la Céramique " Sèvres-Limoges" Wikipédia
Une salle à l'étage , nous présente les différentes étapes de fabrication de la céramique
La statue de Adrien Dubouché
Suite virtuelle prochainement dans ce magnifique Musée National de la porcelaine
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Par jm.rober le 21 Septembre 2013 à 07:00
Pour cette deuxième partie ,je vous propose la visite au centre de Pompiers de La Mauvendière, qui pour la première fois , nous ouvrait ses portes sur une partie de la caserne. Avec comme grand thème , pour ces deux journées « les 100 ans de secours et de lutte contre les incendies. Avec comme programme, la visite de la salle d'honneur merveilleusement décorée à l’effigie de cette corporation de ses débuts à nos jours avec des tableaux qui relatent les différentes époques et la nostalgie d'un certain passé, en regardant le matériel ancien et bien entendu les véhicules de diverses époques.
Le costume de pompier sous l'empire
les véhicules
Soldat du feu , c'est aussi une histoire. Celle-ci a pris naissance vers 595 par un décret du roi Clotaire II qui ordonne aux gardes de surveiller les maisons pendant la nuit. Car reconnues propices au incendies , car à l'époque les constructions étaient en bois et appuyées les unes aux autres.(mitoyennes)
Puis vint 803 avec Charlemagne qui sous peine d'amende, ordonna à certains habitants des villes de veiller sur la sécurité de tous en cas d'incendie.
Déjà, les premiers pompiers étaient nés ! .
Mais d’où vient le nom de « sapeur-pompier »
Cela remonte au moyen âge , car à l'époque les réseaux de distribution d'eau n'existaient pas, et on peut s'en douter. En plus les maisons étaient majoritairement en bois. Alors quand le feu s'y déclarait, les secours empruntaient tous les moyens qu'ils disposaient sous la main pour limiter l'incendie d’où l'expression de l'époque « saper le feu » qui prendra par la suite le nom de sapeur.
Puis une révolution dans la lutte contre l'incendie. « la pompe à bras » les premières pompes sont apparues sous Louis XIV dans la période de 1699 avec l'introduction de celle-ci avec celui qui fut reconnu comme le premier professionnel de France François Dumouziez du Perrier
Aujourd'hui, pièce de musée , cette pompe sur roue était entièrement démontable pour les circonstance. Tractée à bras par deux hommes et quatre autres pour pousser dans les cotes. Et oui il fallait êtres six pour la faire fonctionner. Et ils ne devaient pas être de trop pour alimenter la lance qui était faite à l'époque de cuir souple, assemblée tous les 15 mètres à l'aide de raccord de laiton pour se terminer par la lance elle même faite de laiton.
Méthodes de fonctionnement
Pour un petit jeu , nous avons été conviés pour ceux qui le souhaitaient à la pratique du pompage, au début cela est marrant mais après coup on imagine l'effort que cela pouvait représenter lors d'un incendie .
Je rends hommage à tous ses hommes ou femmes pour leur courage et dévouement et qui risque leur vie pour sauver la nôtre.
La suite prochainement avec un petit coup d'œil dans le musée de la porcelaine
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